Je suis hyper fière.
J'ai fait un risotto aux cèpes HYPER bon, que même Yaka en a rêvé le soir suivant et continue à en parler en bavant des babines.
Si si c'est vrai.
En plus, c'est hyper facile à faire, faut juste avoir un peu de muscles au bras droit (enfin si on le fait pour beaucoup de personnes, mais yaka compte pour 3 et moi pour 2 alors ça fait déjà minimum 5 hein) ou prendre un assistant cuistot avec des gros/musclés bras.
Enfin je ne sais pas si c'est la recette la plus orthodoxe vu que je la tiens d'une hispano-américaine de Belgique qui me l'a passée en Erythrée et que sa réalisation était assuré par les muscles d'assistants franco-grecs pendant que les filles papotaient.
Une recette d'expats en fait.
N'oublions pas que comme l'Erythrée fut colonisée par les italiens, on peut y trouver, outre les machines à espresso d'époque - aaaaaaaah le Macchiato érythréen - du riz à risotto italien tout nouvellement importé à prix d'or.
Bref comme ingrédients il faut :J'ai fait un risotto aux cèpes HYPER bon, que même Yaka en a rêvé le soir suivant et continue à en parler en bavant des babines.
Si si c'est vrai.
En plus, c'est hyper facile à faire, faut juste avoir un peu de muscles au bras droit (enfin si on le fait pour beaucoup de personnes, mais yaka compte pour 3 et moi pour 2 alors ça fait déjà minimum 5 hein) ou prendre un assistant cuistot avec des gros/musclés bras.
Enfin je ne sais pas si c'est la recette la plus orthodoxe vu que je la tiens d'une hispano-américaine de Belgique qui me l'a passée en Erythrée et que sa réalisation était assuré par les muscles d'assistants franco-grecs pendant que les filles papotaient.
Une recette d'expats en fait.
N'oublions pas que comme l'Erythrée fut colonisée par les italiens, on peut y trouver, outre les machines à espresso d'époque - aaaaaaaah le Macchiato érythréen - du riz à risotto italien tout nouvellement importé à prix d'or.
- des cèpes (déshydratés évidemment sinon c'est trop lourd pour l'avion)
- des oignons
- de l'ail
- de l'huile d'olive
- des cubes bouillons de légumes (mais de poule ou de boeuf ça marche aussi, il faut un truc pour donner bon goût à l'eau quoi et on trouve des kub or partout où j'ai pu aller)
- du riz à risotto (riz rond italien, "arborio" il paraît que c'est mieux, mais en fait c'est vraiment selon ce qu'il y a)
- du vin blanc, ou rouge (moi je trouve ça moins joli, mais le riz sera de toute sfaçons coloré par le bouillon alors)
- du parmesan
Ensuite on prépare ce qui va servir:
- Mettre les cèpes à tremper, normalement une heure, en tout cas au moins un quart d'heure avant (mais alors faut mettre de l'eau chaude pour que ça aille plus vite)
- Préparer un bouillon en mettant les cubes de bouillons dans de l'eau (genre au moins un litre si on prépare pour 2) et un peu de sel, et un peu de l'eau dans laquelle les cèpes ont trempé
- Couper les oignons et l'ail en petits dés
- Raper du parmesan.
Pour la cuisson, il faut d'une part avoir une casserole/sauteuse/wok/poële (selon ce que vous avez sous la main) dans laquelle on va faire le risotto proprement dit et un grosse casserole dans laquelle le bouillon sera maintenu au chaud (petit bouillon)
Dans la poële, on fait revenir les oignons et l'ail dans l'huile d'olive. Quand ça commence à dorer légèrement on ajoute le riz. Quand le riz a un peu revenu on commence a ajouter du bouillon, une louche à la fois, en touillant tout le temps. On rajoute une louche quand toute l'humidité est absorbée. Pendant cette phase on ajoute un trait de vin blanc dans le riz (ou bien on l'ajoute dans le bouillon, mais je trouve ça mieux de le mettre tout au début dans le riz).
Il faut continuer jusqu'à ce que la consistance soit bonne au goût, donc il faut goûter de temps en temps. De toutes façons, comme il faut touiller le riz pendant tout le temps, on est déjà devant le plat donc autant goûter, non ?
A la fin on ajoute le parmesan, qu'on mélange dans le risotto.
Puis on peut servir - en général avec une salade à côté mais là c'est vous qui voyez.
Fastoche non ?
Ce n'est pas un plat idéal à réchauffer, c'est plutôt un plat qu'on mange dès qu'il est prêt.Dans la poële, on fait revenir les oignons et l'ail dans l'huile d'olive. Quand ça commence à dorer légèrement on ajoute le riz. Quand le riz a un peu revenu on commence a ajouter du bouillon, une louche à la fois, en touillant tout le temps. On rajoute une louche quand toute l'humidité est absorbée. Pendant cette phase on ajoute un trait de vin blanc dans le riz (ou bien on l'ajoute dans le bouillon, mais je trouve ça mieux de le mettre tout au début dans le riz).
Il faut continuer jusqu'à ce que la consistance soit bonne au goût, donc il faut goûter de temps en temps. De toutes façons, comme il faut touiller le riz pendant tout le temps, on est déjà devant le plat donc autant goûter, non ?
A la fin on ajoute le parmesan, qu'on mélange dans le risotto.
Puis on peut servir - en général avec une salade à côté mais là c'est vous qui voyez.
Fastoche non ?
La grande qualité c'est qu'on peut aisément rectifier toute erreur d'assaisonnement pendant la cuisson.
Faudra quand même que je regarde ce qu'ils en disent dans "la cuillère d'argent".
1 commentaire:
Ben ici y'a pas de risotto, pas de cèpes, pas de vin blanc, et surtout surtout, pas de cuisinière...
Le frigo déborde de banh chung, heureusement qu'Alexandra a aussi fait des courses sinon c'était régime riz/viande/soja/petits-bouts-de-feuille-restés-collés pendant 4 jours (plus le week-end : 6 jours !). Du coup hier j'ai touché à une poele, ca fait drole. C'est pas si terrible que ca en fait, une poele. Elle ne bouge pas tant qu'on ne lui demande rien. J'ai fait cuire un blanc d'oeuf, ca s'est pas trop mal passé je crois. La prochaine fois j'essaierai avec le jaune. Big bisous !
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