dimanche, février 04, 2007

Héliotrope

Ca faisait une semaine que je me languissais du soleil.
Et deux jours que je protestais vigoureusement (mais comme blogger n'a pas voulu publié ce post vous ne l'avez pas su forcément).

Ben oui, parce que à force de passer l'hiver au soleil (pas forcément au chaud, hein, mais en tout cas au soleil), on devient délicate, on prend des habitudes, on s'étiole à l'ombre, ben oui monsieur. On ne sait pas tant qu'on n'y a pas goûté, mais en fait on est beaucoup mieux avec du ciel bleu au dessus de la tête. Je commencais même à faire des plans machiavéliques de déménagement en altitude (la montagne, c'est bien la montagne, d'ailleurs Heidi, hein, Heidi, elle vivait bien dans la montagne non ? et ne s'en languissait-elle pas ?)
Mais aujourdhui, il était revenu, avant que la déprime hivernale ne m'attaque et surtout avant que je ne puisse passer à l'attaque (allez hop! on boucle le svalises et on va voir le Yéti si il y est).

alors pour citer le poète
C'qui prouve qu'en protestant quand il est encore temps
On peut finir par obtenir des ménagements!...

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