Bon week end.
Une semaine a passé depuis notre arrivée.
Et c'est (déjà ^_^) le week end ici (oui je vous nargue).
Il va juste falloir s'habituer à bosser le samedi et le dimanche, quoi.
Et zut, comment va-t-on faire pour le "film du lundi" ? Ah tellement de questions à résoudre...
mercredi, mars 26, 2008
vendredi, mars 21, 2008
jeudi, mars 20, 2008
1er jour
Ah oui, en fait on est bien arrivé...
et j'ai oublié mon appareil photo
mais heureusement j'ai une webcam
et j'ai oublié mon appareil photo
mais heureusement j'ai une webcam
lundi, mars 10, 2008
Lundi matin
L'empereur et le petit prince étant encore dans les bras de Morphée, j'ai eu le temps de me faire un vrai petit déjeuner, avec miam, slurp, un, non, deux oeufs à la coq.
J'adoôore les oeufs à la coq, et ceux là était exactement réussis, le blanc était coagulé et le jaune coulant, les oeufs extra frais et bio de chez le traiteur auvergnat du coin (l'autre coin là bas), plein de goût d'oeuf de poule et de mouillettes (et de poivre et d'une goutte d'arôme de maggi...) et le soleil est même venu voir de quoi il retournait.
Et puis aussi ça me rappelle quand j'étais petite. Pourtant on ne mangeait pas spécialement plus d'oeufs coq que sous une autre forme, peut être parce que la première fois que j'ai mangé des oeufs à la coq, c'est quand j'étais petite ^-^ (oui, ce qui est pratique avec cette explication c'est qu'on peut l'utiliser pour plein de trucs).
Bon c'est peut être aussi parce que je ne réussi toujours pas à mon grand âge à découper le chapeau correctement (et Yaka se moque de moi et du coup, ben j'attends qu'il dorme pour manger des oeufs à la coq en cachette, voilà).
Mais je viens de découvrir qu'en fait je ne suis pas seule. Il ya de vieux Lords anglais* qui étaient, eux aussi, vexés de ne pas réussir à couper proprement le chapeau de leur oeufs à la coq. Ils ont donc réfléchis aux moyens de pallier à ce déplaisir, parce que bon c'est marrant de retomber en enfance mais quand on est Lord anglais ce n'est pas très sérieux quand même.
Et du coup, il existe des coupe-oeufs à la coq. Moi je préfère de loin celui là, beaucoup plus ludique et élégant, qui permet de faire totalement oublier la question de découper le chapeau en la transformant en jeu.
*: Oui "Vieux Lords anglais" -à perruque-, parce qu'ils ont prouvé leur créativité quand il s'agissait de satisfaire une passion.
Et voilà j'étoffe la rubrique culinaire au lieu de ranger ma maison, ben c'est du joli tiens!
J'adoôore les oeufs à la coq, et ceux là était exactement réussis, le blanc était coagulé et le jaune coulant, les oeufs extra frais et bio de chez le traiteur auvergnat du coin (l'autre coin là bas), plein de goût d'oeuf de poule et de mouillettes (et de poivre et d'une goutte d'arôme de maggi...) et le soleil est même venu voir de quoi il retournait.
Et puis aussi ça me rappelle quand j'étais petite. Pourtant on ne mangeait pas spécialement plus d'oeufs coq que sous une autre forme, peut être parce que la première fois que j'ai mangé des oeufs à la coq, c'est quand j'étais petite ^-^ (oui, ce qui est pratique avec cette explication c'est qu'on peut l'utiliser pour plein de trucs).
Bon c'est peut être aussi parce que je ne réussi toujours pas à mon grand âge à découper le chapeau correctement (et Yaka se moque de moi et du coup, ben j'attends qu'il dorme pour manger des oeufs à la coq en cachette, voilà).
Mais je viens de découvrir qu'en fait je ne suis pas seule. Il ya de vieux Lords anglais* qui étaient, eux aussi, vexés de ne pas réussir à couper proprement le chapeau de leur oeufs à la coq. Ils ont donc réfléchis aux moyens de pallier à ce déplaisir, parce que bon c'est marrant de retomber en enfance mais quand on est Lord anglais ce n'est pas très sérieux quand même.
Et du coup, il existe des coupe-oeufs à la coq. Moi je préfère de loin celui là, beaucoup plus ludique et élégant, qui permet de faire totalement oublier la question de découper le chapeau en la transformant en jeu.
*: Oui "Vieux Lords anglais" -à perruque-, parce qu'ils ont prouvé leur créativité quand il s'agissait de satisfaire une passion.
Et voilà j'étoffe la rubrique culinaire au lieu de ranger ma maison, ben c'est du joli tiens!
dimanche, mars 09, 2008
Urbanité
Aujourd'hui j'ai pris le bus.
C'est toujours une expérience parce que le bus parisien est une espèce encore assez sauvage - généralement maîtrisé avec un étonnant brio par son chauffeur. Il faut le voir faire prendre à sa monture des virages dans des ruelles tortueuses qui laisse à peine 2 cm de chaque côté sans faire baisser sa moyenne ou se faufiler entre 2 voitures mal garées comme s'il était Vélo, pour se réjouir de la qualité de la formation des chauffeurs de Bus parisien.
Vu de l'extérieur, on se rend quand même bien compte que la bête n'est pas si docile et qu'il faut laisser la priorité au "gros". D'ailleurs c'est simple, à Paris le piéton parisien sait bien que le vrai danger vient du Bus ou du Taxi (qui compense la taille par l'agressivité), les deux maîtres du pavé qui ne cédent devant personne.
Aujourd'hui la bête était "chaude", elle sortait de l'enclos, avait soif de liberté, je ne sais pas, mais comme son arrivée était assez cahotique, j'ai trouvé comment mettre le frein sur la poussette et je me suis accrochée. Bien m'en a pris car elle ruait beaucoup, stoppait net, repartait en zigzag après quelques coups de klaxons/corne de brume. Elle a finalement trouvé une proie, un cycliste qui passait par là et croyait impunément qu'on pouvait circuler sur le bitume parisien comme ça là.
Le Bus a klaxonné, le cycliste ne s'est pas laissé faire, a répondu vertement, le bus l'a poursuivi (un bus !!! avec des gens dedans!!!), le cycliste ne s'est pas démonté, le bus a ouvert sa portière avant, le chauffeur est sorti au feu rouge, le cycliste s'est enfui (aha !) (non sans continuer à parler crûment de la mère du bus) le chauffeur est remonté dans le bus et a remis ça 2 fois (profiter du feu rouge pour arrêter le bus et en sortir et poursuivre le cycliste qui lui ne descend pas de son vélo, pas si bête, et profite de la maniabilité et de la pente favorable pour rester à distance respectable).
Bon j'avoue c'était un peu bizarre comme situation, c'était un bus quand même (avec des femmes et des enfants à bord en plus)!
Mais surtout, le chauffeur (de bus parisien, donc) a aussi insulté le cycliste (ben oui il n'était pas muet à lui montrer le poing, il fallait quand même défendre l'honneur de la mère - ou de la soeur ? je ne sais plus - du bus) et il lui a dit avec un bel accent du sud : "Espèce de supporter du PSG!".
Mais le cycliste a lâchement profité du fait que le bus a un itinéraire imposé pour s'enfuir par une grande avenue, terrassé par l'âpreté du verbe.
C'est toujours une expérience parce que le bus parisien est une espèce encore assez sauvage - généralement maîtrisé avec un étonnant brio par son chauffeur. Il faut le voir faire prendre à sa monture des virages dans des ruelles tortueuses qui laisse à peine 2 cm de chaque côté sans faire baisser sa moyenne ou se faufiler entre 2 voitures mal garées comme s'il était Vélo, pour se réjouir de la qualité de la formation des chauffeurs de Bus parisien.
Vu de l'extérieur, on se rend quand même bien compte que la bête n'est pas si docile et qu'il faut laisser la priorité au "gros". D'ailleurs c'est simple, à Paris le piéton parisien sait bien que le vrai danger vient du Bus ou du Taxi (qui compense la taille par l'agressivité), les deux maîtres du pavé qui ne cédent devant personne.
Aujourd'hui la bête était "chaude", elle sortait de l'enclos, avait soif de liberté, je ne sais pas, mais comme son arrivée était assez cahotique, j'ai trouvé comment mettre le frein sur la poussette et je me suis accrochée. Bien m'en a pris car elle ruait beaucoup, stoppait net, repartait en zigzag après quelques coups de klaxons/corne de brume. Elle a finalement trouvé une proie, un cycliste qui passait par là et croyait impunément qu'on pouvait circuler sur le bitume parisien comme ça là.
Le Bus a klaxonné, le cycliste ne s'est pas laissé faire, a répondu vertement, le bus l'a poursuivi (un bus !!! avec des gens dedans!!!), le cycliste ne s'est pas démonté, le bus a ouvert sa portière avant, le chauffeur est sorti au feu rouge, le cycliste s'est enfui (aha !) (non sans continuer à parler crûment de la mère du bus) le chauffeur est remonté dans le bus et a remis ça 2 fois (profiter du feu rouge pour arrêter le bus et en sortir et poursuivre le cycliste qui lui ne descend pas de son vélo, pas si bête, et profite de la maniabilité et de la pente favorable pour rester à distance respectable).
Bon j'avoue c'était un peu bizarre comme situation, c'était un bus quand même (avec des femmes et des enfants à bord en plus)!
Mais surtout, le chauffeur (de bus parisien, donc) a aussi insulté le cycliste (ben oui il n'était pas muet à lui montrer le poing, il fallait quand même défendre l'honneur de la mère - ou de la soeur ? je ne sais plus - du bus) et il lui a dit avec un bel accent du sud : "Espèce de supporter du PSG!".
Mais le cycliste a lâchement profité du fait que le bus a un itinéraire imposé pour s'enfuir par une grande avenue, terrassé par l'âpreté du verbe.
samedi, mars 08, 2008
dimanche, mars 02, 2008
croque monsieur pressé
Aaah, un peu de manger -poubelle, ça fait du bien non ?
Bon alors quand on a faim là maintenant tout de suite et qu'on a du pain en tranche, qu'est-ce qu'on fait ?
On se fait un croque monsieur poêlé, miam.
Pour ça il faut deux tranches de pain de mie, du fromage en lamelle ou en râpé, du jambon et du beurre.
On prend une tranche de pain de mie on met une couche de fromage, puis une couche de jambon puis une couche de fromage puis la deuxième tranche de pain de mie.
On met du beurre dans une poële.
On pose le sandwich dans la poële et on maintient un peu de pression avec une spatule. Quand c'est doré côté pile on retourne et quand c'est doré côté face on retourne de nouveau afin de s'assurer du fondu du fromage.
Et voilà, yapluka manger!!
Miam, c'est bon la nourriture pas saine.
Et en plus on peu choisir la sorte de fromage qu'on veut !!!
(et aussi mettre d'autres ingrédients mais pas trop sinon ça ne colle plus)
(ah zut, j'ai mangé trop vite, j'ajouterai une photo la prochaine fois)
Bon alors quand on a faim là maintenant tout de suite et qu'on a du pain en tranche, qu'est-ce qu'on fait ?
On se fait un croque monsieur poêlé, miam.
Pour ça il faut deux tranches de pain de mie, du fromage en lamelle ou en râpé, du jambon et du beurre.
On prend une tranche de pain de mie on met une couche de fromage, puis une couche de jambon puis une couche de fromage puis la deuxième tranche de pain de mie.
On met du beurre dans une poële.
On pose le sandwich dans la poële et on maintient un peu de pression avec une spatule. Quand c'est doré côté pile on retourne et quand c'est doré côté face on retourne de nouveau afin de s'assurer du fondu du fromage.
Et voilà, yapluka manger!!
Miam, c'est bon la nourriture pas saine.
Et en plus on peu choisir la sorte de fromage qu'on veut !!!
(et aussi mettre d'autres ingrédients mais pas trop sinon ça ne colle plus)
(ah zut, j'ai mangé trop vite, j'ajouterai une photo la prochaine fois)
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